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Notre année sabbatique racontée


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Et enfin, c’est l’arrivée à Paris !


Ça y est, nous sommes à Paris CDG avec seulement quelques heures de retard ! À Kuala Lumpur, l’avion a été pris dans une tempête au moment de l’atterrissage, on a tous eu très peur. Il a été détourné sur Penang à 400 Km de là pour attendre que le temps se calme. Nous avons refait le plein et sommes repartis 1 heure après vers Kuala Lumpur où notre A380 nous attendait.

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Prêts à rentrer en France!

Heureux de prendre l’avion et de bientôt revoir tout le monde nous n’avons pas souffert de ce long voyage.

A l’arrivée, Thomas, le frère de Cécile nous attendait.

Le début d’une nouvelle aventure commence !

Super !

 


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Tagaytay suite et fin, les dernières heures aux Philippines


Avant le départ, nous en profitons pour faire le plein de t-shirts et, on trouve ici de nombreux magasins de vêtements à des prix très raisonnables. Le choix est large, ces hangars/magasins sont immenses, on croirait des fins de série des pays occidentaux.

En rentrant à l’hôtel, les enfants organisent un défilé. Ils sont ravis de leurs achats, il faut dire que depuis le début de l’aventure ils n’ont pas eu plus de 3 t-shirts et un choix assez limité en vêtements.

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Nous profitons à nouveau de la vue sur le volcan Taal en s’offrant un bon café.

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Puis nous refaisons nos sacs une dernière fois, en laissant tout ce dont nous n’aurons plus besoin en France : ponchos pourris, traitement palu, moustiquaires, anti-moustiques…..

Nous prenons le bus très tôt le matin pour Manille, le trajet va être long, l’avion doit partir en fin d’après-midi pour Kuala Lumpur puis redécollera pour Paris vers minuit et demi.

En tout, un trajet de plus de 30 heures.

 

 


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Tagaytay, randonnée sur le volcan Taal


Il nous reste quelques jours avant le vol retour, et nous ne souhaitons pas rester à Manille… Nous épluchons notre guide et trouvons non loin de là une destination qui semble prometteuse : Tagaytay.

C’est une ville à environ 1h30 au sud de Manille, posée sur la crête d’un cratère du volcan Taal, un volcan de plus de 20 km de large.

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Nous trouvons facilement un hôtel avec piscine, les enfants s’y défoulent pendant des heures. Notre chambre donne sur un petit jardin, la cuisine est ouverte 24h/24h et sert quelques très bons plats, comme le Binakol, du poulet en sauce très relevée.

C’est notre dernière destination, nous voulons la prendre très cool, on essaye de se reconditionner au retour et à la « vie normale ».

Les paysages sont magnifiques, par temps clair, nous pouvons voir depuis le bord de la route en face de l’hôtel le cratère et son lac. Quelques iles (qui sont en fait des volcans) émergent de la surface.

Nous descendons en 20 à 25 minutes au bord du lac à bord d’une moto side-car, 650 CC à échappement libre, nous en avons encore les oreilles qui sifflent !! Nous louons un bateau pour nous rendre sur l’ile principale « Volcano Island » du lac de cratère.

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Les aventuriers

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Mon batteau!!!

Il s’agit d’un volcan de 400m de haut que nous décidons de grimper.

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Nous sommes très peu à faire la randonnée à pied, les touristes utilisent généralement les chevaux. La montée n’est pas compliquée mais il fait très chaud.

Dans un paysage très aride, parmi les fumeroles, la marche soulève beaucoup de cendre. Il nous faudra environ 50 minutes pour atteindre la crête de ce volcan, un peu plus bas, nous pouvons admirer un nouveau lac de cratère, mais celui-ci est bouillonnant, certains disent qu’il est sulfuré…

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Le lac du cratère

Ici et là la terre fume, rabattant parfois sur nous l’odeur caractéristique du souffre.

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Eva-Marie pose à coté d’un fumerole, même pas peur!

Drôle d’ambiance que celle du dos d’un volcan.

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Visite rapide de Manille


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Nous n’avions pas prévu de visiter Manille, les guides ne le conseillent pas et nos aprioris ne sont pas très positifs à l’égard de cette capitale.

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Mais nous y sommes alors: « Let’s Go » !

Notre programme est de visiter la cité historique,  le «Manille Intramuros » et le parc Rizal orné de quelques monuments, certains musées peuvent aussi être intéressants.

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La cathédrale de Manille

Nous commençons par la visite du parc et le monument à Rizal. Très vite on a du mal à prendre plaisir, un peu partout, sous les arbres des familles vivent là.

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Certains enfants déjà grands sont nus, ils sont sales, l’odeur est forte. Des hommes et des femmes sont couchés à même le sol et demandent de l’argent. Un peu partout on retrouvera cette grande misère qui nous dérange et qui nous choque. Le cœur n’y est pas, nous rentrons à l’hôtel.

À 20m de l’entrée de notre hôtel, un homme se meurt sur un bout de carton, il doit peser 35 kilos, c’est dur.

 


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De Romblon à Manille


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Nous quittons Romblon pour Manille

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Le bateau part à 13H00 de Romblon une fois tous les 3 jours mais il faut y être tôt le matin pour acheter les billets. C’est la foire d’empoigne, il y a bien une queue mais personne ne la respecte, pour 4 tickets, ça nous prend deux heures.

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Les enfants posent dans le zoo de marbre de l’hôtel, juste avant le départ

Le bateau arrive à Batangas vers 1h00 du matin, soit 12h00 de trajet dans un ferry blindé, nous avons la chance d’avoir des couchettes proche du bastingage, il y fait moins chaud. D’autres dorment par terre… Le pont est vraiment plein, c’est très bruyant, beaucoup d’enfants philippins pleurent, les gens parlent très fort.

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Au milieu de la nuit une odeur de brûlé et une agitation soudaine, ce n’est rien m’explique un membre d’équipage, une cheminée a pris feu mais comme il y en a deux on peut continuer !! On arrose copieusement, on ralenti un peu et on repart comme si de rien n’était…. Ouf !

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Le ferry est plein…

On est débarqué à Batangas ville du sud de Luzon, sur un quai entre camions, bus et voitures. On nous oriente vers une gare routière où on nous pousse presque dans un bus. Une fois assis quelqu’un nous demande où nous allons à Manille. Sans trop le savoir nous-mêmes, Stéphane donne le nom d’un quartier qu’il a retenu : Makati, le quartier d’affaires de la capitale, là où poussent les tours !

A 3h00 du matin, un type nous crie : « MAKATI ! MAKATI ! » et nous demande de descendre du bus, cela dure moins de 2 minutes et nous sommes jetés sur un trottoir au bord d’une 2 x 6 voies avec tous nos bagages en tas, dans un état semi-comateux après 12h00 de mer et 3 heures de bus… Sans savoir où on dort !!

On se compte, on compte les bagages, on essaye de réfléchir sans s’engueuler !!! Puis on décide qu’il n’est pas très opportun de rester au bord d’une 2 X 6 voies à Manille à 3h00 du matin… on marche un peu et un taxi nous accoste. Nous lui expliquons que nous devons trouver un hôtel, il nous embarque. 30 minutes plus tard, après d’âpres négociations entre Cécile et l’hôtelier sur le prix de la chambre, nous nous endormons enfin.

Chez nous, pour obtenir un RDV chez le dentiste, c’est souvent la galère, il faut souvent faire du forcing. On a un peu l’impression que notre petite rage de dents n’intéresse pas le dentiste. Qui, comme un ministre, n’a pas de place avant deux mois !

Nous sommes donc surpris d’être reçus au bout de dix minutes dans un hôpital moderne et plutôt chic par une équipe médicale (un dentiste et deux assistantes) qui est aux petits soins pour Stéphane. L’affaire est vite bouclée, nous continuons notre périple.

 


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De Tablas à Romblon


Nous traversons l’ile de Tablas pour l’embarcadère de Saint Agustin assis dans un jeepney surchargé, nous comptons jusqu’à 48 personnes, nous avons une place et la gardons bien.

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Au revoir Tablas!

La traversée dure une heure, une fois de plus les paysages sont magnifiques, les couleurs extraordinaires.

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Une voile au large de Romblon

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L’arrivée à Romblon City, des enfants plongent pour rattraper les piécettes envoyées par les passagers…

Nous débarquons sur l’ile le jeudi saint et malheur, tout est plein, pas une place dans un hôtel, on est relégué dans une pension en centre ville. Drôle de bâtiment, tout en marbre gris du sol au plafond, couchés dans notre lit on a l’impression d’être dans un caveau…

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Romblon City

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L’île de Romblon est réputée pour son marbre de qualité

Le lendemain matin nous louons un tricycle et faisons pendant 2h30 le tour d’une dizaine d’établissements, pour enfin trouver un bel endroit. L’hôtel n’est pas situé en bord de mer mais dans les terres. Depuis notre lit nous avons une vue magnifique sur les rizières. En plus il y a une belle piscine pour les enfants.

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Le Dream Paradise Resort

Nous y passons le long week-end de Pâques, en mode cool et nous en profitons pour fêter les 40 ans de Stéphane!

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Vue depuis notre chambre

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La perte d’un pivot nous oblige à rechercher un dentiste à Romblon. Le premier que nous consultons officie dans une cabane en bois et prescrit à Stéphane des antibiotiques ??? Le deuxième fait aussi épicerie et nous conseille d’aller à Manille.
Donc, en route vers Manille !

 


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Vagabondage d’ile en ile


Vagabondage d'ile en ile

La traversée de Boracay à Caticlan sur l’ile de Panay dans l’archipel des Visayas se fait aisément et nous enchainons sur un autre bateau en direction de l’ile de Tablas. La nature est magnifique, le vagabondage d’ile en ile à bord des bangkas est pour tous un grand moment de plaisir. Nous sommes régulièrement face à des paysages à couper le souffle.

Nous longeons les iles à quelques miles des côtes, le spectacle est splendide, la traversée des chenaux est musclée : forte houle, vent violent. Ça bouge beaucoup dans le bateau, plusieurs passagers sont malades.

Les enfants et Cécile, assis à l’intérieur, ont pris l’habitude des transports en bateau et ne semblent pas incommodés le moins du monde par les mouvements incessants du bateau. Stéphane qui s’est installé comme à son habitude sur le toit de la bangka reçoit des seaux d’eau et en est ravi, il s’amuse comme un petit fou !

Nous arrivons dans une ville appelée Looc. Nous y restons deux jours, notre hôtel est installé sur la place principale. On assiste depuis le balcon à la vie des habitants et aux va-et-vient des jeepneys. Nous en prenons un pour rejoindre à quelques heures de là la ville d’Odiongan. Les villes que nous croisons ne sont pas très jolies offrant peu d’intérêt touristique ou culturel.

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La mangrove de Looc

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Rue de Looc

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Mon salon de coiffur !

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La plage de Looc

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Jeepney

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Nous trouvons un bel appartement dans un hôtel posé sur la plage. Deux chambres, un salon, une cuisine… un vrai petit chez soi. Le restaurant est bon (ce qui est rare aux Philippines). Nous y resterons une semaine.

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On a ramassé de beaux coquillages, admiré de magnifiques couchers de soleil, regardé les pêcheurs, fait plein de CNED, on s’est baigné pendant des heures et on s’est promené sur la longue plage. Un autre rythme de voyage.

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C’est le pied!

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La plage d’Odiongan

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Les derniers à l’eau: Eva-Marie et Pierre-Lou!

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Tous les soirs, un nouveau tableau

 

 

 


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Boracay


Nous passons une bonne partie de la journée sur un gros ferry. Les enfants jouent avec les légos ou aux échecs avec d’autres passagers locaux trop heureux de voir « des petits blancs « . Cécile et Stéphane parlent du retour, ça se rapproche vite, on commence à faire des projets. Nous restons positifs et optimistes, pour nous c’est la clé d’un retour réussi.

Nous arrivons de nuit à Caticlan sur l’ile de Panay, notre destination finale est Boracay, une ile au large à peine a 10 minutes de pirogue, nous ne la rejoindrons pas ce soir ayant lu dans guide que les logements étaient chers. Nous ferons donc la traversée demain et nous laisserons le temps de chercher un logement adapté à notre budget.

En approchant de l’ile le lendemain matin, nous sommes enchantés de voir partout des voiles bleues, triangulaires montées sur des petites pirogues à balanciers.

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Boracay au loin

Depuis le début de notre voyage il y 8 ou 9 mois, nous n’avons pas vu de voile en Asie du sud est ou quasiment pas.

C’est sur ici nous en profiterons.

Nous trouvons une guest house sympa, un peu chère pour notre budget (40€ les deux chambres avec petit déj), l’Orchid Resort à 100 mètres de la plage. L’endroit est super au milieu d’un petit jardin où poussent d’innombrables orchidées.

Un tricycle transportant des bambous traverse un carrefour…

Mais ce matin nous sommes inquiets : Pierre-Lou ne se sent pas bien, cette nuit il a rejoint son père dans le lit, avec de la température. Ce matin il n’a pas d’appétit, il a des courbatures, se plaint… A 11h00 la fièvre revient… notre inquiétude continue de grandir, il y a quelques jours sur Palawan, nous étions en zone impaludée. Nous recherchons le centre médical et arrivons à 15h00, dans une sorte de dispensaire où un « docteur » mange au milieu de la « pharmacie », nous ne sommes pas très rassurés.

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On pique le doigt de Pierre-Lou pour une rapide analyse de sang… Quelques minutes plus tard le « docteur » revient avec un diagnostique tout aussi inquiétant : suspicion de DENGUE… un deuxième rendez-vous est fixé pour le lendemain matin, pour confirmer le diagnostique.

Branle bas de combat, si la dengue est confirmée, il nous faut un véritable hôpital, la seule structure hospitalière du pays correcte, semble être Manille, ce qui veut dire : bus, bateau, bus, avion….

Nous prenons contact avec l’assurance pour l’ouverture du dossier rapatriement, au cas où…

Nous dormons fort mal, anxieux et inquiets. A 8h00 nous sommes dans le centre médical pour une deuxième analyse. Ouf ! il ne s’agit pas de la dengue mais d’une infection bactérienne, quelques antibiotiques et tout devrait rentrer dans l’ordre.

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Nous allons maintenant pouvoir profiter de cette fameuse plage, la « White Beach ». Quelle déception, elle n’est pas blanche mais verte d’algues. Dans l’eau, prés du bord, flotte une quantité impressionnante d’algues, on dirait une soupe de salade ! L’urbanisation anarchique du bord de plage n’est certainement pas étrangère à cette pollution.

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La green Beach de Boracay

Le plus ironique est que pour rentrer sur l’ile vous devez payer une taxe de 100 pesos par personne pour la préservation de l’écologie (le prix du billet de bateau est lui de 25 pesos). Une mascarade : pas une poubelle sur la plage, les égouts à ciel ouvert et une ile absolument surpeuplée !

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Mais nous restons ici pour faire du voilier et c’est avec grand plaisir que nous essayons ces petits bolides survitaminés et très légers, assis en bout de balancier nous décollons littéralement à chaque risée. Un grand moment de plaisir pour toute la famille.

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Nous voulions faire le tour de l’ile pour cela il y a un passage un peu compliqué, le chenal entre les deux iles de Panay et Boracay, à remonter au prés. Houle, vent force 4 nous en ont empêchés à deux reprises.

La première fois, le foc éclate, nous sommes dans le chenal, par forte houle, le bateau n’avance plus et se rapproche dangereusement de la plage, de très fortes sensations s’emparent de nous tous. En fait nous ne risquons pas grand-chose, nous sommes à quelques mètres de la plage, seul le bateau peut avoir de vrais problèmes.

La deuxième fois que nous tentons de traverser ce chenal, les conditions sont encore plus dures, avec un foc tout neuf, mais des creux de 2-3 mètres avec en plus un vent fort. Le bateau tape violemment dans les vagues, virer sur ce type d’embarcation est difficile, il faut mettre le foc à contre… ça bouge beaucoup, ça monte haut et enfourne. Un flotteur se détache: la cata, il faut mettre en fuite. Nous nous arrêtons sur une petite plage à proximité et faisons une réparation de fortune avec du gros fil nylon !

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Nous renonçons au tour de l’ile pour faire de la vitesse sous le vent de l’ile. Là, la mer est calme, le vent fort est régulier. Nous faisons des pointes à plus de 20 nœuds, ça décoiffe !

Les bateaux de 7 ou 8m sont très légers et surtoilés, les accélérations sont fortes et les sensations aussi, par contre ce type pirogue à balancier vire très mal et a du mal à passer dans la houle, chaque vague ramenant la carène perpendiculaire à celle-ci.

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Pierre-Lou est à présent parfaitement guéri, il retrouve ses jeux, la plage, les châteaux de sable. Les enfants jouent beaucoup ensemble, ils ont l’air heureux.

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Nous partons pour Tablas, une ile à quelques heures de là, un peu plus au nord.

 


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Coron et l’ile de Mindoro


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La baie de Coron

Nous ne restons qu’un jour à Coron, la ville offre peu d’intérêt, par contre la baie est magnifique. La terrasse de notre hôtel est un balcon sur celle-ci, nous ne nous lassons pas de l’admirer pendant que distraitement les enfants font le CNED.

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Coron, vue depuis notre guesthouse

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Séance CNED

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La terrasse de la Zurich Pension

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Pierre-Lou a trop travaillé…

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Nous devons continuer notre vagabondage d’ile en ile et nous rendre sur l’ile de Mindoro à quelques heures de là.

C’est en Bangka, pirogue à balancier typique des Philippines, qu’est assuré un jour sur deux ce trajet. Sur le toit, en compagnie d’autres voyageurs, le voyage se passe bien même si en traversant le détroit de Mindoro la mer est formée et que les embruns nous mouillent.

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Nous arrivons à San José mais n’y resterons pas, nous continuons notre voyage vers Roxas toujours sur l’ile de Mindoro, en bus cette-fois-ci. Nous allons au terminal des ferries, notre prochaine destination est une toute petite ile « Boracay », et sa fameuse « white beach », connue par les philippins comme la plus belle plage du monde ! Elle est aussi célèbre pour ses activités nautiques.

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La traversé est magnifique

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La Bangka, pirogue à balancier

 

 


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Mauvaise connexion aux Philippines!


Bonjour chers lecteurs, le réseau internet aux Philippines est malheureusement très mauvais et ne nous permet pas de mettre à jour notre blog comme nous le souhaiterions.

Nous rentrons dans une quinzaine de jours, après un fabuleux voyage où tout c’est très bien passé. Nous sommes impatients de revoir nos familles et nos amis.

Nous vous embrassons tous très fort.

(au fait Stéphane a 40 ans depuis 2 jours!)